Je voudrais pouvoir évaluer les risques selon mes pratiques sexuelles. Ce n'est qu'avec cette prise de conscience pratique sur la transmission du virus que je pourrais alors adopter un comportement sans risque
question #3 : La "durée de vie" courte du virus peut-elle jouer en faveur de la non-contamination ?
Réponse
proposée par le Dr Christine Fernandez *
Si ces facteurs (ceux de la question précédente : muqueuses de la bouche non absorbantes en l'absence de lésions et hypothèse de la salive neutralisante) me semblent jouer un rôle en faveur d'une contamination quasi-nulle dans les rapports oro-génitaux (dans un sens comme dans l'autre), en revanche la durée de vie courte du VIH ne me paraît jouer ici aucun rôle
Ce risque oro-génital (bouche-sexe) est évalué pour d'autres microbes (bactéries ou virus) sexuellement transmissibles, bien plus "contagieux" que le VIH
des exemples pour ces "bien plus contagieux" :
- virus de l'hépatite B, celui de l'herpes, le gonoccoque, syphilis, etc.